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Idées
de visites
Découverte des alentours de
Teana ( boucle de 2h de route environ)

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En roulant tranquillement, traversée des
villages et petites villes suivantes au travers d’une boucle de 90 km
qui se fait en 2 heures environ :
 | Départ Teana |
 | Calvera |
 | Cantoniera del Titolo |
 | Castronuovo |
 | Roccanova : entre
les vallées des fleuves Agri, Sinni et Sarmento, ce village a reçu
l’appellation de « cité du vin » par le Consortium œno-gastronomique
de Basilicate. |
 | Senise et le lac de Monte
Cutugno : La digue du Mont Cotugno, située près de
Senise, est la plus grande digue d’Europe construite en terre
battue. La digue, qui arrête le fleuve Sinni dans la région où
se trouve le rétrécissement de son lit, a été construite en 1983.
L’eau du fleuve a été maîtrisée pour pouvoir être utilisée
dans un but agricole, industriel et pour la consommation. Le mur qui
constitue la digue dont la capacité maximale est de 530 millions de mètres
cube, est long d’environ 1850m, haut de 60m et large à la base de
260m. Les experts ont pensé amener dans le lac les eaux du torrent
Sarmento et du fleuve Agri pour assurer une plus grande fréquence de
remplissage du réservoir de la digue. |
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 | Chiaromonte est
une commune de 2.126 habitants et se trouve dans le Parc National
du Pollino. Elle est située à une altitude de 794 m sur un éperon
rocheux qui domine le fleuve Sinni (au sud) et la vallée du torrent
Serrapotamo, son affluent (au nord). Sur le versant Est se trouve la
"Falaise Angari", sur les pentes de laquelle se trouve
l’ancienne aire archéologique locale. Le centre historique est
concentré sur l’éperon rocheux comme un amphithéâtre, alors que
le centre moderne se développe rapidement sur les pentes du col. Le
territoire communal est subdivisé en divers lieux-dits. Une caractéristique
est la présence de nombreuses grottes creusées dans la roche, dans
lesquelles sont entreposées les réserves de vin rouge produit
artisanalement par des vignerons locaux, un des éléments
fondamentaux de la gastronomie de Chiaromonte. Le centre est
d’origine très ancienne, et on trouve des témoignages de la présence
humaine jusqu’à l’âge de Fer ainsi qu’une incursion de la
culture grecque. Devenu un important centre commercial, suivit une
phase de décadence à l’époque romaine. Au Moyen-Age, une
forteresse fut érigée par les Normands et les Longobards, qu’un
tremblement de terre détruisit au IXème siècle. Régnèrent
successivement les familles Chiaromonte et Sanseverino, qui
construisirent le château (aujourd’hui ex-monastère) et aux tours
cylindriques et carrées. L'origine du nom pourrait venir du latin
"Clarus Mons", en rapport à la position dominante, ou peut-être
par rapport à l’aspect du lieu, déboisé et donc libre (clarus). |
 | Francavilla in Sinni
: Selon la légende, Giovanna (épouse du prince Severino de
Chiaromonte) donna en 1420 aux moines de la Chartreuse de San Nicola
le territoire qu’il voyait depuis la fenêtre du château, en
remerciement au voto fait à Saint Nicolas pour la guérison de son
fils. Les moines créèrent une bourgade sur les rives du fleuve Sinni
pour loger les travailleurs engagés pour le travail des nouvelles
terres. L’habitat prit le nom de « Francavilla » car libre de
d’impôts, à part la dîme du couvent. |
 | Episcopia :
L'origine du nom est archaïque et est dérivé du terme "Epis
Kopia" qui signifie vedette, car l’ancienne ferme était érigée
sur un éperon rocheux difficile à assiéger. Dans le centre habité
se trouve le château, qui comporte 2 tours, une de forme
cylindrique et l’autre de forme quadrangulaire. A l’entrée du château,
on peut voir de belles fresques. Le couvent avec l’église de
Sant'Antonio, situés en périphérie du village, est édifié dans la
seconde moitié du 16ème s. |
 | Retour Teana |
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Circuit touristique dans le Parc du
Pollino, de Basilicate en Calabre

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Cette balade, d'une distance totale de
 | Départ Teana |
 | Vigianello : Voir
son centre historique et son "Castello", ainsi que la source
du fleuve Mercure. |
 | Rotonda : son centre historique
et son "Castello". Magnifique panorama sur la
"Valle del Mercure" depuis le sommet du "Castello". |
 | Morano Calabro :
son centre historique, un des 100 plus beaux villages d’Italie. Château des X et XIIIème siècles, avec panorama sur la chaîne du Pollino. Couvent de style gothique. |
 | Civita : centre d’habitation
italo-albanais, ayant conservé les traditions civiles et religieuses de la patrie d’origine.
Ne pas rater le Belvedere du "Canyon del Ragnello"
qui offre un des panoramas les plus spectaculaires du Pollino, avec un fleuve ayant creusé des parois de plus de 300 m. Le
"Ponte del Diavolo" et le musée ethnique (accès gratuit). |
 | Terranova di Pollino
: Superbes paysages de falaises, avec des parois rocheuses d’origine volcanique. |
 | San Paolo Albanese : Le village aurait été fondé par des réfugiés albanais venus de Korone occupée par les Turcs. Les fondateurs des 2 villages albanais dans le Val Sarmento (San Costantino A. et San Paolo A.) se seraient divisés en 2 groupes et auraient assiégé 2 autres villages. Le prince Pignatelli aurait chassé un des 2 groupes, lesquels se seraient réfugiés sur les cimes droites du Sarmento, fondant ainsi San Paolo. Cette
présence albanaise dans le Val Sarmento serait de la fin du 16ème s. |
 | San Constantino Albanese
: Superbes paysages. |
 | Noepoli Les
" Porticelle", formations rocheuses caractéristiques causées par l’érosion. |
 | Retour à Teana
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Les
"sassi" de Matera et les "trulli" d'Alberobello (balade
à la journée, avec visite de 2 sites classés par l'Unesco)

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“Sassi” de Matera
 | Matera est une ville italienne d'environ 60.000 habitants, chef-lieu de la province de même nom, située en Basilicate, dans l'Italie méridionale.
La ville est célèbre pour ses habitats troglodytiques (les
"Sassi di Matera") classés sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco et décrits par Carlo Levi dans
" Le Christ s'est arrêté à Eboli".
La "Gravina" a creusé le calcaire du plateau des Murge, où s'étale Matera. De
nombreuses grottes naturelles ont ainsi été creusées et ont servi de refuge aux hommes depuis le paléolitique. Ce serait l'un des plus anciens sites préhistoriques. Grecs et Romains ont à leur tour investi les lieux, à la croisée des routes commerciales (Matera était une des étapes de la Via Appia). |
 | Occupation du site : le "Sasso" a été occupé depuis le néolithique, et c'est seulement en 1953 que le dernier habitant l'a quitté, à la suite d'une décision politique en raison des conditions de salubrité précaires de ces quartiers. C'est la loi De Gasperi qui, en 1952, imposa l'évacuation des sassi et le relogement de leur population.
Depuis, un énorme projet d'aménagement a été mis en place, confié aux meilleurs urbanistes du pays, pour créer de nouveaux quartiers tout en essayant de préserver la sociabilité particulière des sassi. Dans les parties récentes les façades des maisons sont construites et certains toits servent de rues aux étages supérieurs.
Le calcaire ne permettant pas de retenir les eaux pluviales dans une
nappe phréatique, l'eau de pluie |
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est recueillie dans des citernes. Au cours de
l'histoire de nombreuses grottes ont abrité des églises rupestres.
Aux VIIe et VIIIe siècles, les grottes devinrent le refuges de moines
byzantins, qui transformèrent leurs murs en chapelles. On peut ainsi y
admirer des fresques à forte influence byzantine.
La pièce principale sur le devant était occupée par la famille, et
les animaux domestiques étaient rentrés le soir dans la pièce du
fond. La natalité était élevée dans ces quartiers : jusqu'à 6
enfants vivants, et tout le monde s'entassait dans une seule pièce qui
servait de salle à manger, de chambre à coucher et d'atelier. Le bébé
dormait souvent dans le dernier tiroir de la commode. Même au XXe siècle,
ni l'eau courante, ni l'évacuation des eaux usées n'avaient été
installées
"Trulli" d’Alberobello
 | Alberobello possède la particularité d'avoir des maisons à base généralement carrée, faites de pierres sèches
de la région des Pouilles, construites sans mortier (technique datant de la préhistoire) et
à toit pyramidal (dôme ou cône) composé de galets de pierre à chaux plats ramassés dans les champs voisins. Elles sont appelées des
trulli (au singulier trullo) et on en compte environ 1 500 dans les deux quartiers Monti et Aia piccola d'Alberobello, tous deux
classés au patrimoine de l'UNESCO. Le trullo le plus ancien daterait de 1559 selon une inscription au dessus de la porte. |
 | Géographie : Alberobello est située sur 2 collines autrefois séparée par le lit d'une rivière. A l'est se trouve la ville neuve, de l'autre côté les deux quartiers anciens et classés, Monti et Aia piccola. Le paysage agricole est verdoyant, composé de vignobles, d'amandiers et d'oliviers. C'est la profusion de roche calcaire stratifiée qui est à l'origine de l'habitat caractéristique de la région. |
 | Histoire : L'histoire d'Alberobello remonte à la seconde moitié du XVIe siècle . Ce petit fief, alors sous le contrôle de la famille Acquaviva, comtes de Conversano, vit arriver des paysans qui cultivèrent la terre.
Les comtes permirent aux colons de construire des habitations en pierres non jointes afin de les démonter facilement en cas d'inspection
royale. En effet, Ferdinand 1er d'Aragon dans sa 'Prammatica de Baronibus' exigeait le paiement d'une taxe en cas d'édification d'habitations stables.
En 1797, un groupe d'hommes courageux d'Alberobello, lassés de cette situation précaire, se rendit à
Tarante pour demander l'aide du roi Ferdinand IV des Bourbons qui les reçu et leur fit une promesse.
Le 27 mai 1797, le roi envoya un décret affranchissant le village. Les habitations 'trulli' sont couvertes de galets calcaires, le "chiancole", qui couvre le toit conique et fait la renommée de ce centre urbain unique au monde et qu'aujourd'hui tout le monde admire. |
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La magnifique Côte Amalfitaine (longue journée permettant de
découvrir des paysages grandioses)

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La côte amalfitaine, inscrite au patrimoine de l'Unesco, est un littoral unique en Méditerranée : falaises, villages historiques du moyen-âge, vergers en terrasses, citronniers, criques ...
Amalfi
 | Amalfi est une commune d'environ 5.500 habitants de la province de Salerne. Elle donna son nom à la péninsule même sur laquelle elle se situe, la côte
amalfitaine.
Cette côte amalfitaine est surtout constituée de falaises rocheuses. La ville d'Amalfi couvrant en partie les parois, est installée depuis le fond d'une gorge jusqu'au port, dominée par le mont Cerreto (1.315 m). |
 | Amalfi est une ville très touristique. La beauté du site
naturel, le dédale d'étroites rues médiévales escarpées et le mélange particulier d'influence culturelles venues de toute la Méditerranée en ont fait une ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1997. |
 | Amalfi est également connue pour sa production de citrons de qualité et son papier fait main, industrie de « cartaria » très florissante au cours de son histoire et toujours vivante aujourd’hui. Traditionnellement, chaque année un équipage de marins amalfitains participe à la régate des Républiques maritimes en défiant les armes de ses trois villes homologues. |
Positano
 | Positano se trouve dans une vallée et ses abords côtiers sont parmi les plus beaux de la Côte Amalfitaine. Au centre du village, en descendant vers la plage toujours pleine de touristes, campe la coupole de Santa Maria Assumée, église d'une rare beauté qui contient des sculptures des XIII et XVIèmes siècles. |
 | Les innombrables "perrons" (escaliers) sont très typiques du village, partant du haut du pays et arrivant en
bas sur la plage. |
 | Les plages principales - la Grande Plage et le Fornillo - sont accessibles à pied. Les autres - la Porte, Arienzo, San Pietro Laurito - sont principalement accessibles par la mer. |
 | Aujourd'hui le tourisme est l'industrie principale
de Positano. |
Ravello
 | Dominant la mer de plus de 300 m de hauteur, du sommet de la Vallée des dragons, ce lieu est devenu la
destination de nombreux touristes et le siège du "Ravello festival" qui s'y tient chaque année en été (créé en 1953 en l’honneur de Richard Wagner). |
 | La beauté de ce village-jardin a de tout temps inspiré liberté à ses habitants, visiteurs, voyageurs, intellectuels et artistes de toutes les nationalités comme Boccaccio ou Wagner. |
 | Ravello renferme des joyaux architecturaux comme la Villa Cimbrone, édifiée autour du XIème siècle
et embellie au début du XXème par un gentilhomme anglais, Lord Grimthorpe, avec l'aide de Nicola Mansi. Le jardin de Cimbrone est encore aujourd'hui un rare exemple de grâce et de facétie. |
 | La famille Rufolo, une les plus riches de Ravello, a construit au 13ème siècle la villa du même nom sur une avancée rocheuse dont la pointe reste encore aujourd'hui dans les mémoires de milliers de visiteurs. |
Agerola
 | Agerola se situe au centre d'une verdoyante vallée à environ 600 mètres au dessus du niveau de la mer. La première impression est d'y être complètement entouré d'une nature luxuriante et de vues superbes, surtout si l’on regarde vers la mer. |
 | Agerola est à quelques dizaines de minutes de localités comme Amalfi, Positano, Ravello, Pompei, Sorrento et
autres et, pour cela, c’est un lieu idéal où séjourner et d’où partir pour des excursions d’une journée. |
 | Agerola est le point de départ du "Sentier des
Dieux", la promenade la plus célèbre de la Côte Amalfitaine |
Praiano
 | Ele se distingue des autres villages de la côte de par sa
vaste ouverture sur la mer et par sa côte rocheuse allant vers
Positano. |
 | De Praiano part également le célèbre "Sentier des
Dieux", une longue promenade panoramique. |
 | À ne pas rater à Praiano : l'église de San Luca, avec la coupole typique, la relique, le buste du saint et les toiles de célèbres artistes du XVI ème. |
 | Praiano, avec la beauté de ses vues, sa gastronomie, ses auberges et par beaucoup d'autres est un des endroits les plus beaux de la Côte amalfitaine |
Atrani
 | A quelques 700 mètres de la plus connue Amalfi, c’est l'unique village de la Côte à conserver intact son
caractère d'ancien petit bourg de pêcheurs. Atrani, coincée entre un haut mur rocheux et la mer, au débouché de la Vallée des Dragons, offre au spectateur un
cadre fantastique. |
 | Traversé par le petit fleuve des Dragons, de sa plage préservée, partent
le soir pour la pêche les lamparo, qui constellent dans la nuit la mer de mille points lumineux. |
 | L’amphithéâtre naturel formé par la place et le rideau des édifices est coupé par la route. La plage est presque isolée par la falaise qui la protège. Depuis la mer, un unique passage mène à la place, centre de vie. |
Maiori
 | Maiori est un florissant centre touristique,
doté de structures hôtelières de bon niveau et en mesure d'offrir à ses hôtes tout ce qui sert à jouir d’un séjour relaxant sur la côte
Amalfitaine. |
Minori
 | Minori est un charmant village côtier à moins de six kilomètres d'Amalfi.
Comme pour les autres villages de la Côte, Minori émergea comme installation résidentielle des notables romains, qui choisirent la Côte Amalfitaine pour sa beauté et pour la douceur du climat. |
 | À visiter à Minori : la villa romaine d'époque pompéienne et la Basilique de Saint-Trofimena, et les églises de Santa Lucia, San Gennaro et San
Michele. |
Furore
 | Furore est une très petite commune de près de 850 habitants construite le long d'une route sinueuse.
Elle est située entre Amalfi et Positano, sur les hauteurs surplombant Praiano, et elle précède Agerola un peu plus à l'intérieur des terres. |
VicoEquense
 | Dominant la partie de la péninsule sorrentine qui va de Scrajo à la pointe Scutolo, Vico Equense est un village baigné par la mer, entouré de collines verdoyantes et rocheuses, où dans le passé se réfugiaient des pèlerins
chassés par les souverains angevins, qui marquèrent de leur passage l'histoire et l'architecture de cette partie de la côte. |
 | Le territoire de Vico Equense est le plus étendu de la Péninsule Sorrentine, parce qu'il comprend, au-delà de la ville elle-même, une série de petits bourgs sur des hauteurs riches en plantations d'agrumes, vignes et oliviers. Les fermes furent même un refuge pour les habitants de ces
zones lors des incursions sarrasines qui avaient transformé la mer en une source continue de dangers et de destructions. |
 | Les vertes étendues d'oliviers rappellent le culte de Minerve qui avait fait don de cette plante à
l'Attique. Les pentes du Monte Faito (Mont Faito) évoquent des sorcières qui les auraient choisis comme demeure ; les grottes, refuge des ermites, témoignent des anciennes dévotions pour la Madone du Taureau, dispensatrice de miracles. |
Monte Faito
 | Haut de 1131 m, le Mont Faito est un des sommets des monts Lattari
de la péninsule sorrentine. |
 | Le panorama sur Castellamare di Stabia d'un côté et sur la côte sorrentine de l'autre mérite le déplacement
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